Alors que Kunikida est toujours enfermé en prison à cause du plan machiavélique de Dostoievski, Ranpo tente de mettre à mal Mushitaro Oguri, un redoutable manipulateur capable d’effacer l’existence de preuves via son pouvoir « le crime parfait ».
Tandis que Dazai se fait arrêter par la police, la mystérieuse organisation terroriste des « Cinq Anges en décomposition » fait son apparition et commet une série de crimes abominables…
Quatorzième tome déjà pour Bungô Stray Dogs et c’est toujours un plaisir de retrouver ce manga. Dans ce volet là, on s’éloigne un peu du groupe des Détectives puisque Kunikuda est en prison et qu’on suit Rampo et Poe qui mènent l’enquête pour le faire libérer en démasquant le véritable assassin.
Si j’ai eu du mal avec Rampo au début du manga, je le trouve bien plus agréable depuis quelques temps et je trouve que son association avec Rampo est à la fois efficace et choupi.
Surtout que leur adversaire est un bonhomme finalement très humain qu’on a aussi envie de voir s’en sortir. Mais quand son patron c’est Dostoïevski et qu’il vous envoie Gogol, rien ne reste tranquille bien longtemps et le manga repart sur une nouvelle opposition très explosive entre les Détectives et le groupe des Anges en décomposition.
Nicolas Gogol est un nouveau personnage très fun et bien entendu complètement barré et je suis contente de voir que Dostoïevski n’avait pas dit son dernier mot, ce qui me fait revoir mon jugement sur le final du tome précédent qui m’avait un peu déçue.
Et on nous apporte même des explications sur ce fameux livre que Fitzgerald recherche !
La menace se déplace, c’est au tour de Dazai d’atterrir en prison et j’ai, une fois de plus, très hâte de lire le prochain tome parce que je sens que cet arc va beaucoup me plaire tant les Détectives semblent cette fois face à une difficulté insurmontable.
Bungô stray dogs – Tome 14
Kafka Asagiri et Harukawa 35
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