Alors que Kyôka, fraîchement embauchée parmi les Détectives armés, se lance dans sa première mission spécialement destinée à son intention, Alcott, une ancienne membre de la Guilde, décide de retrouver Fitzgerald qu’elle pense toujours en vie et de le ramener sur le devant de la scène.
Mais c’est sans compter sur Dostoïevski qui se décide enfin à sortir de l’ombre et à affronter la Mafia portuaire et l’Agence…
Quelles sont donc les intentions cachées de celui que tout le monde considère comme un véritable démon réincarné ?
Avant de prendre trop de retard dans la parution d’une des rares séries de manga dans laquelle je suis à jour, voilà un petit retour rapide sur le onzième tome qui, dans la lignée du précédent, sert à la fois à faire la transition entre deux gros arc et à approfondir des personnages que l’on connait désormais depuis un petit moment, avec différentes histoires qui ne s’attachent plus à suivre uniquement Atsushi, mais également à apprendre un peu plus sur la vie de Kyôka lorsqu’elle était encore avec ses parents et la façon dont elle a obtenu son pouvoir.
Ça peut donner l’impression d’un peu s’éparpiller puisque l’on suit également Louisa May Alcott qui récupère un Fitzgerald en piteux état pour se relancer dans la récupération du Livre scellé dont on ne sait toujours pas grand chose en s’attaquant au Département des pouvoirs spéciaux.
Pourtant, le final est palpitant et Dostoïevski est un ennemi particulièrement redoutable qui sait parfaitement quoi faire pour monter les uns contre les autres alors que l’équilibre semblait plus ou moins trouvé.
On est un peu dans une transition avant l’arrivée d’un nouveau gros arc mais tout est déjà en place. Heureusement que Dazai semble toujours autant perspicace et l’accélération se fait bien sentir dans un final haletant.
Bungô stray dogs – Tome 11
Kafka Asagiri et Harukawa 35
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