Strike – Saison 4 : Lethal White

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Un homme perturbé du nom de Billy Knight avec du sang sur les mains confronte Strike et Robin à l’agence, et révèle avoir été témoin du meurtre d’une jeune fille lorsqu’il était jeune.
En cherchant à y voir plus clair dans l’histoire de Billy, Cormoran et Robin Ellacott suivent une piste qui les entraine dans des recoins sombres de Londres, au cœur du Parlement et dans un sinistre manoir au fin fond de la campagne anglaise.

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Décidément, malgré le plaisir que je prends à regarder cette série, j’ai toujours énormément de retard à publier mes billets. C’est donc encore une fois plusieurs mois après avoir vu cette saison 4 que je me retrouve à écrire mon avis et ça va forcément s’en ressentir.

Il faut dire que l’intrigue policière était encore une fois très confuse, l’affaire étant apportée par l’irruption soudaine de Billy, un bonhomme un peu paumé venant griffonner un cheval géant sur le mur du bureau de Strike avant de s’envoler.
Difficile de bosser pour un client qui n’a filé aucune information mais de toutes manières Strike n’a pas le temps de s’ennuyer et rencontre du beau monde en la personne d’un ministre, Jasper Chiswell, qui le recrute parce qu’il veut être protégé, de Jimmy Knight et de Geraint Winn, le mari d’une ministre aveugle. Et le ministre sait très bien que Cormoran est à la recherche de Billy Knight, qui est donc le frère de Jimmy. En effet, tout est lié, ce qui est quand même souvent le cas dans les intrigues policières.
Du coup, Robin est envoyée en infiltration au ministère et ça nous offre de beaux décors pendant qu’elle rencontre à peu près l’intégralité de la famille Chiswell, y compris la belle-mère (mais pas le fils ainé puisqu’il est mort).

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Après ça, on a donc droit à de multiples rebondissements pour aller jusqu’à la conclusion des intrigues. Billy n’était pas complètement fou et avait bien assisté à un meurtre, Jasper Chiswell meurt, sa fille pense que sa belle-mère l’a assassiné, il y a une rave dans un immeuble, Strike se fait balancer dans un escalier, Robin se déguise en punk et tout plein d’autres péripéties dans lesquelles je me suis bien mélangée au point de ne plus vraiment savoir quel était le véritable but de cette saison.

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Evidemment, c’est très embrouillé vu le nombre de personnages au centimètre carré mais l’essentiel se trouve dans les relations entre les personnages.
Je reste persuadée qu’un couple entre Cormoran et Robin ne serait pas une bonne idée mais je suis tout de même folle de joie que Robin ait (enfin !) quitté Matthew qui m’oppressait de plus en plus à être un bon gros connard, désolée du terme. Je suis juste un petit peu déçue qu’il ait fallu qu’il la trompe pour qu’elle réussisse à partir au lieu de le faire parce qu’il était odieux. Mais après tout, elle avait peut-être besoin de se trouver une excuse pour se sortir de cette relation malsaine et je ne la juge absolument pas pour cela.

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A côté de ça, je n’ai pas beaucoup aimé que Cormoran fricote ailleurs. Pas qu’il n’en ait pas le droit bien entendu, mais Lorelei avait l’air d’un chouette personnage alors que lui il avait visiblement plutôt rien à faire d’elle.
En tout cas les situations personnelles des deux héros de la série semblent un peu apaisées, je me demande bien vers quoi on pourra aller par la suite. Et je suis bien contente qu’on garde le petit nouveau dans l’agence, malgré son faible temps de présence il m’a beaucoup plu.

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Et pour le côté artistique, je suis toujours autant amoureuse des décors. J’aime particulièrement les voyages que font Strike et Robin, toujours au milieu de très chouettes paysages qui permettent de sortir de Londres.

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