City Hall – Tome 7

city hall 7

Plus que quelques jours avant l’exécution de Pierre Verne…
Jules et Arthur embarquent à bord du vaisseau qu’ils ont imaginé avec l’aide de Nikola Tesla pour accéder au Monde à l’envers : le Nautilus. Ensemble, seront-ils à la hauteur du génie de Lewis Carroll ? Réussiront-ils à passer de l’autre côté du miroir et, si oui… sortiront-ils indemnes de cette expédition ?

Barre-de-séparation

Embarquement sur le Nautilus, 20 000 lieux sous les mers, à destination du Monde à l’Envers où l’accueil est assuré par Reverso.
Trahisons, changements de camp, révélations sur l’affiliation de White Hawk, même Nikola Tesla (mais pourquoi est-il blond ?) se laisse tenter par toutes les possibilités offertes par cette autre terre sur laquelle il pourrait créer quelque chose de nouveau.
Dans cet univers où n’importe quoi peut se produire et où l’imprévisible est la seule chose de prévisible, Jules semble avoir atteint ses limites et sa véritable identité est enfin révélée à ses amis.

En point d’orgue, on a droit à un combat d’écrivains assez épique, Hetzel, un mecha géant d’un combat, Cthulhu de l’autre, mais que j’ai trouvé assez confus, comme tous les précédents ayant eu lieu dans cette saga.
Ce tome conclut parfaitement l’intégralité d’un cycle que j’ai eu grand plaisir à découvrir. Beaucoup de références littéraires, mais plus généralement culturelles, de personnages qui partaient parfois dans tous les sens mais avaient tous une personnalité, et un récit qui s’est tenu jusqu’au bout dans une certaine cohérence.

Inutile de poser cette question… Il n’existe soit aucune réponse, soit une infinité …

Mon gros coup de cœur aura été pour Arthur mais chacun d’entre eux aura su apporter quelque chose pour aboutir à un final rapide mais touchant.

City Hall – Tome 7
Rémi Guérin – Guillaume Lapeyre
Ankama

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