Amamiya est chargé d’enquêter sur le suicide de plusieurs lycéennes. Derrière ces morts plutôt originales se cache en réalité Zen.Itsu, qui semble particulièrement bien le connaître.
De plus, l’enquête sur le meurtre d’Ueno n’est toujours pas bouclée et Amamiya pense qu’une de ses personnalités a pu le tuer. Les ramifications de cette affaire sont en réalité bien plus importantes et une mystérieuse organisation semble mêlée à tout ça.
Toujours aussi gore que le tome précédent, celui ci fait la part belle aux enquêtes et montre à quel point Amamiya est un excellent détective.
C’est aussi le retour de la personnalité de Shinji Nishizono et surtout l’arrivée de Mina Amamiya, une jeune aveugle de 16 ans.
Et puis bien entendu, les chapitres sur l’enfance de notre détective, avec sa perte de mémoire et les massacres de sa jeunesse sont très intéressants.
D’autant plus que les personnes qu’il a tuées portaient les mêmes noms que les personnalités qu’il développe maintenant.
A l’arrivée, difficile de savoir quelle était la personnalité d’origine d’Amamiya, lui même semble d’ailleurs l’ignorer.
Je suis très curieuse d’en apprendre plus sur Gakuso, l’organisation derrière tout ça, et quel rôle joue exactement le chanteur Lucy Monostone dans toute cette histoire.
Je suis très fan du dessin, très pur, très clair et très fin.
Mais si l’histoire me passionne autant, je vous recommande tout de même de vous munir d’un calepin et d’un stylo pour noter les différents noms sous peine de devoir passer votre temps à retourner fouiller les pages précédentes pour vous y retrouver.
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