Le Docteur reçoit neuf appels de détresse tous provenant de la même région sur la planète Ranskoor Av Kolos. Très vite, elle réalise qu’un champ magnétique perturbe les pensées des rares habitants, et qu’un ancien ennemi est derrière une vaste machination.
Sans avoir particulièrement brillé par ses scénarios, la onzième saison arrive à son terme avec ce dernier épisode qui voit le Docteur et ses compagnons partir sur une planète de laquelle de nombreux appels de détresse sont lancés.
Les personnages secondaires sont peu nombreux et pas tellement marquants malgré la bonne interprétation de Mark Addy et Phyllis Logan avec une coiffure douteuse.
Quant aux interférences dans la mémoire dues à la planète semblent n’être là que pour retarder les révélations sur les différents vaisseaux venus s’écraser sur cette planète.
En revanche, c’est un bon point d’utiliser Tim Shaw comme antagoniste. La revanche est une motivation comme une autre mais il est surtout intéressant de voir que les actions de la Doctor en début de saison ont des conséquences.
J’aurai presque aimé retrouver aussi le raciste du futur et pourquoi pas une ou deux araignées géantes histoire de lier un peu toute la saison même si on nous avait prévenu par avance qu’il n’y aurait pas de fil rouge.
Les compagnons tiennent leur place, Yaz étant là pour permettre à Thirteenth de ne pas parler toute seule et Ryan faisant du Ryan.
C’est du côté de Graham qu’il faut aller pour trouver le plus de questionnement, au bout d’une saison où il aura vécu un développement très logique et plein de sensibilité.
Ce dernier épisode est donc à l’image de la saison, pas forcément des plus brillants quand il faut se pencher sur le scénario mais solide dans ses personnages et avec un très joli esthétisme.
Reste qu’on ne sent pas qu’on est là face à un épisode final, ce qui sera peut-être le cas avec le prochain qui sera là pour le Jour de l’An.
J’ai beaucoup aimé cet épisode et toute la saison en fait, si ce n’est qu’elle était bien trop courte.
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Bien aimé aussi. Ça aurait peut être mérité un petit rappel à Tim Shaw en milieu de saison par contre, mais dans l’ensemble c’était vraiment bien sympa !
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Ça c’est le seul avantage d’une saison courte, c’est qu’on n’a pas eu le temps de l’oublier ! 😀 Mais je ne l’ai pas dit tout à l’heure mais j’aurais aimé aussi revoir le raciste (et pas du tout du tout parce que j’aime l’acteur, hein !).
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J’étais tellement contente de le voir 😀
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