Les survivants d’un cataclysme essaient de se mettre en sécurité. Les Piévelus affrontent le mal. Durin est déchiré entre amitié et devoir. Adar envisage un nouveau nom…
Tout comme pour l’épisode 5, ma voilà bien embêtée au moment d’écrire mon billet parce que j’ai l’impression qu’il ne s’est absolument rien passé.
On nous avait pourtant laissé à la fin du précédent dans une situation précaire puisqu’à la suite des manigances d’Adar, le volcan avait fini par ressurgir mais, alors que je pensais qu’on allait passer tout de suite aux conséquences de cette explosion, le récit prend énormément de temps pour se reposer et faire tout simplement bouger ses personnages.
Galadriel et Theo, le gamin pénible, se carapatent vite fait du village en cendres et partent dans la nature.
Allez savoir pourquoi, mais ils cherchent à rejoindre le camp de repli des Numénoréens, qui étaient eux aussi dans le même village mais qui ne les recroiseront pas avant de rejoindre ce camp.
Ils n’ont pourtant pas grand chose d’autre à faire que ramasser leurs morts, se demander si Isuldur a survécu (le suspens est à son comble) et à se rendre compte que leur reine régente est devenue aveugle.
A noter qu’au milieu de tout ce marasme scénaristique, j’ai trouvé qu’Elendil réussissait à être vraiment touchant alors que jusque là je n’avais rien à faire de lui.
Je n’ai pas compris pourquoi Halbrand qui est à moitié mort réussit à partir avec Galadriel vers les elfes, mais là je pense que c’est juste un ressort scénaristique.
Du côté des Hobbits, ce n’est pas bien folichon non plus même si leur migration a enfin pris fin. Leur champ de pommiers a subi l’éruption, c’est la crise, mais l’Etranger réussit à guérir leurs arbres même s’il se fait bannir. Aucune idée sur son identité, ça reste toujours un grand mystère, mais les prêtresses sont toujours à sa poursuite.
Reste finalement ce qui m’intéresse le plus, Elrond et Durin. J’aime vraiment énormément cette amitié et leur séparation où chacun d’entre eux montre ses sentiments fait du bien.
Cette bataille pour le mithril fonctionne, l’opposition entre les Durin aussi et le rôle de Disa dans tout ça est vraiment intéressant.
Dommage que le reste ne soit pas à la hauteur.
Il y a eu de bonnes choses dans cet épisode : Durin et Elrond, indéniablement, les Piévelus (de façon très subjective, juste parce que j’aime les voir) et… « Theo, le gamin pénible » ? Vraiment ? Eh bien oui, je suis totalement d’accord, il est super pénible. En fait, le gros problème dans cette série c’est qu’il y a des choses qui ne fonctionnent que pour avoir le bon ressort scénaristique, c’est dommage. Malgré tout, j’apprécie de suivre « Les Anneaux de pouvoir » et j’ai déjà hâte que la saison 2 sorte, en espérant que les écueils de cette première saison soient évités.
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Durin et Elrond c’est vraiment le gros point fort de cette série pour moi, je les adore vraiment ❤
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Qui ne les aime pas ? 💜
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Episode vu !
Et heureusement qu’il y a (encore !) la bromance et les mystères parce que qu’est-ce que ce fut long pour pas grand chose. J’ai l’impression d’être revenue au point de départ avec Numenor.
Heureusement que Durin apporte un peu de dynamisme en se rebellant.
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J’ai beaucoup d’espoir sur cet arc là, je sens que ça va finir par me décevoir ^^’
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