Nori doute de son instinct ; Elrond s’efforce de rester fidèle à son serment ; Hallbrand envisage son destin ; Les hommes des Terres du Sud se préparent à l’attaque.
J’ai beaucoup défendu la série. Bien aidée par le fait que je ne connaisse rien à la période dans laquelle elle est censée prendre place, je me suis, jusque là, bien amusée à la regarder et j’ai même trouvé qu’elle était splendide à regarder.
Mais cet épisode m’a laissée un peu de marbre, et c’est notamment dû au fait que je n’ai trouvé aucun intérêt à ce qu’il se passe à Númenor.
J’ai eu l’impression qu’on nous redisait exactement la même chose que ce qu’on nous disait dans l’épisode précédent, où il était déjà clair que Isildur et ses potes allaient partir à la guerre avec Galadriel dans de beaux bateaux.
Je n’avais même pas compris qu’il y avait un doute à la participation ou non d’Hallbrand à la petite virée en Terre du milieu, mais à la limite, ça aurait pu être résolu en quelques minutes.
Il est d’ailleurs à noter, qu’encore une fois, Galadriel se moque bien de ce que peuvent penser les personnes qui vivent autour d’elle puisque Hallbrand a clairement fait savoir qu’il n’était pas intéressé à retourner mener la guerre de son peuple.
Ca m’a quand même offert mon seul moment de surprise de l’épisode puisqu’en superposant cette intrigue avec celle des humains dans leur tour, j’ai un instant cru qu’il y avait du décalage temporel, même si cette impression n’a pas duré bien longtemps.
Chez les Piévelus, on est en pleine migration, ça s’étire un peu, on se demande toujours qui est le mystérieux bonhomme qui a des pouvoirs et qui commencent à parler, mais sinon, ça n’avance pas beaucoup. Heureusement il y a une chanson et ça c’est cool.
Du coup on en revient rapidement à Elrond et Durin, qui sont toujours les deux points forts de la série pour moi.
On nous explique l’origine du mithril et je n’ai pas compris pourquoi Elrond (qui est le pire menteur de cet univers) finit par balancer à Celebrimbor qu’il y en a dans les mines naines, mais au moins ça fonctionne et les deux personnages me donnent envie de croire en leur amitié.
Tu résumes parfaitement mon sentiment sur cet épisode que je viens de voir, un gros bis repetita avec le précédent et seule la relation Elrond/Durin qui trouve grâce à mes yeux, m’amuse et me soutire un peu d’émotion. Le reste est terriblement plat et long malgré les belles images V.V
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J’ai envie d’une série sur Elrond et Durin qui partent en vacances ^^
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Je suis sûre que ce sera plus passionnant que ce qu’on voit ! xD
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J’ai bien aimé cet épisode – d’une façon générale, j’aime quand ça prend le temps. Númenor, je m’en moque un peu, j’avoue (et, oui, ça faisait un peu bis repetita), et Galadriel n’en fait un peu trop qu’à sa tête mais je me doute que c’est en se plantant qu’elle apprendra à ne plus faire de conneries. Les prêtresses (?) blanches m’intriguent beaucoup, j’ai hâte du prochain épisode. La chanson de Poppy, j’ai adoré, tout comme la relation Durin/Elrond.
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