1927. Quelques mois après sa capture, le célèbre sorcier Gellert Grindelwald s’évade comme il l’avait promis et de façon spectaculaire. Réunissant de plus en plus de partisans, il est à l’origine d’attaque d’humains normaux par des sorciers et seul celui qu’il considérait autrefois comme un ami, Albus Dumbledore, semble capable de l’arrêter. Mais Dumbledore va devoir faire appel au seul sorcier ayant déjoué les plans de Grindelwald auparavant : son ancien élève Norbert Dragonneau.
Je continue avec ma tournée des films sur les Animaux fantastiques avec le deuxième volet, jamais vu auparavant pour moi, qui oublie New York pour se recentrer sur l’Europe, Paris et Poudlard essentiellement.
Il faut dire que tout le monde a quitté les Etats-Unis, Newt a l’interdiction de quitter l’Angleterre, Grindelwald s’est échappé de sa prison avec l’aide d’Abernathy, Credence travaille dans un cirque d’où il cherche à faire s’échapper la Maledictus Nagini, Tina est à Paris pour le retrouver et Jacob et Queenie débarquent chez Newt pour se marier.
On en profite pour faire la connaissance de Theseus, le frère Auror de Newt, interprété par le délicieux Callum Turner, que je n’avais plus revu depuis bien longtemps et on retrouve même Dumbledore, actuellement professeur de défense contre les forces du mal et Jude Law est vraiment à croquer.
Cette fois, on ne s’embarrasse pas d’une quête inutile à base d’animaux fantastiques, qui sont réduits à leur portion congrue, en l’occurrence le petit botruc de Newt, un nifleur débrouillard et l’introduction d’un splendide zouwu.
A la place, il y a une menace qui grandit, Grindelwald cherche à regrouper ses partisans et à recruter Credence pour qu’il vienne grossir ses rangs pendant que Dumbledore charge Newt de l’en empêcher parce qu’il ne peut pas le faire lui-même et qu’il montre déjà là ses premiers signes de manipulateur expert.
Au milieu de tout ça, Credence cherche à connaitre ses origines et les Lestrange se déchirent pour une sombre histoire de famille.
Ca fait beaucoup, certes, mais ça permet à chacun d’avoir une place à jouer et dans le fond ça marche vraiment bien.
Leta Lestrange est un joli personnage, plein d’ambiguïté, Theseus est adorable et protecteur envers son frère et bien loin du cliché des Aurors violents que sont certains de ces collègues, Credence reste bien longtemps en retrait, comme si les autres se disputaient un trophée qui n’avait pas son mot à dire.
Le discours final de Grindelwald dans le sous sol du cimetière est d’ailleurs glaçant parce qu’il ne cherche pas à effrayer son auditoire, mais il le séduit tout simplement en lui disant ce qu’il veut entendre.
Ce deuxième volet est très réussi sur le plan scénaristique en oubliant toute la partie légère et somme toute plutôt superflue sur les animaux que le premier film se devait de traiter, sans doute pour justifier son titre.
Cependant, il a beaucoup trop d’intrigues à gérer pour pouvoir s’occuper correctement des personnages et les sœurs Goldstein en pâtissent un peu au passage.
Reste le dernier retournement de situation concernant la filiation de Credence et là, je salue l’audace tout en me demandant encore comment j’ai réussi à ne jamais me faire spoiler ce point là.
Et bin il te reste le 3eme…et lisant ta critique….je me dis que j’aurais du aller au cine pour le voir cet opus…
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J’y vais ce soir pour voir le 3 !
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J’ai aussi beaucoup aimé ce deuxième volet plus sombre et sérieux où les nouveaux personnages apportaient une profondeur un peu absente du premier que je trouvais trop marketing ^^!
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C’était un peu trop chargé mais je l’ai préféré au premier moi aussi !
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Coucou,
J’ai trouvé le 2ème opus trop noir, j’ai préféré le 1er. Bon j’ai préféré le 3 au 2.
Passe une belle semaine, bisettes
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J’arrive mercredi pour le troisième 🙂 La deuxième m’a plu mais il avait beaucoup trop d’intrigues secondaires je pense ^^
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