The Crow: Stairway to Heaven

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Eric Draven, musicien, et sa fiancée, photographe, sont assassinés. Un an après ce crime, Eric revient à la vie, mais il est différent : il se transforme lorsqu’il est en colère et est accompagné, où qu’il soit, d’un corbeau, celui qui escorte les morts jusqu’au royaume des morts. Eric se rappelle peu à peu ce qui lui est arrivé et il retrouve ceux qui ont détruit sa vie.

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Série doudou de la fin de mon adolescence, ça faisait très longtemps que j’avais envie de revoir The Crow et c’est avec beaucoup de plaisir que je l’ai fait au début de cette année.
Comme son nom l’indique, elle est inspirée des comics de James O’Barr et est sortie quelques années après le film qui avait couté la vie à Brandon Lee. Mais programmée pour la télévision on est ici dans quelque chose de beaucoup plus aseptisé, sans violence particulière mais aussi avec un fond bien plus procedural vu la diffusion hebdomadaire. Pour tout dire, on a même regardé quelques épisodes dans le désordre sans s’en rendre compte (mais on ne dit pas merci au DVD).

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L’attrait principal de la série c’est bien entendu son personnage principal, Eric Draven, ici interprété par Mark Dacascos dont j’ai toujours été très amoureuse. Assassiné le même jour que sa fiancée, il est revenu sur terre pour la venger mais aussi pour prendre soin de la petite voisine Sarah et mener des enquêtes avec Daryl Albrecht, le policier du coin qui est sceptique sur sa résurrection.
Le truc en plus c’est qu’il est revenu avec énormément de colère, accompagné d’un corbeau, qu’il se régénère très rapidement et qu’il a une fâcheuse tendance à se transformer lorsque quelque chose le dérange.

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Au milieu d’épisodes plutôt classiques de voleurs, d’assassins et de policiers, il y en a tout de même quelques uns qui ressortent comme ceux qui font intervenir les serpents, des gens tués lors des accès de colère des corbeaux mais qui sont bien plus méchants qu’eux.
Et il faut aussi faire avec Shelly qui continue à influer sur Eric au delà de la mort.
Malgré tout, si la série plaira sans doute à ceux qui l’avait déjà vu lors de sa sortie en 1998-1999, il y a peu de chance qu’elle séduise un nouveau public tant elle est marquée par son époque en cochant à peu près toutes les cases des productions du moment.

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Si la série est loin d’être incontournable et édulcore beaucoup la violence du comics, elle n’en reste pas moins très agréable à regarder avec un acteur principal particulièrement charismatique, quelques acteurs canadiens qui font là ce qui doit être sans doute leur première apparition et une fin bouclée au terme de cette première saison.

8 réflexions sur “The Crow: Stairway to Heaven

  1. Ce que je pouvais aimer cette série, j’essayais de ne pas rater un épisode. J’avais peut-être déjà vu des films avec Mark Dacascos mais c’est clairement The Crow qui me l’a fait aimer à ce point et comme je te l’ai déjà dit maintenant je suis tellement content de le retrouver de temps en temps en guest dans des séries. Il faudrait que je revois cette série ^^

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