Pendant que le Docteur est enfermée dans une prison extraterrestre de haute sécurité dans l’espace, ses amis Graham O’Brien, Ryan Sinclair et Yasmin Khan découvrent l’existence d’un plan mettant en jeu les Daleks, et doivent réussir à le combattre, aidés par le Capitaine Jack Harkness.
Je n’ai jamais vraiment trouvé le temps d’écrire mon billet sur le final de la saison 12 mais j’avais tout de même envie de revenir assez vite sur ce nouvel épisode sorti pour fêter le Nouvel An et que, pour une fois, j’ai réussi à voir assez vite.
De toutes manières, comme beaucoup d’épisodes spéciaux, celui-ci ne va pas vraiment faire de grosses références à l’intrigue principale, si ce n’est dans un dialogue entre la Docteur et Ryan expédié entre deux fusillades.
A la place, nous avons donc une histoire, somme toute assez classique, de daleks venus là pour leur présence annuelle obligatoire, qui fait intervenir Jack Robertson, croisé dans le non mémorable Arachnids in the UK, et un sous-fifre scientifique tout à fait random dont j’ai oublié le nom, et qui ont eu l’idée saugrenue de s’associer pour proposer à une femme politique une carcasse de dalek pour en faire un drone de surveillance super efficace.
Evidemment tout finit par mal tourner, puisque les cellules de dalek présentes sur la carapace réussissent à prendre le contrôle du scientifique et c’est la catastrophe sur Terre alors que la Docteur est occupée à être prisonnière des Judoons. Bien heureusement, elle en est sortie par un Jack en pleine forme et c’est parti pour aller sauver tout le monde au terme de diverses péripéties qui ne resteront pas forcément dans les annales même si voir s’écharper les daleks parce que certains d’entre eux se trouvent plus purs que les autres est toujours assez savoureux.
Mais l’essentiel se trouve sans doute dans les Compagnons qui n’ont pas des masses appréciés d’être laissés au bord de la route pendant de longs mois. C’est notamment le cas pour Yaz qui développe assez clairement des sentiments pour Thirteen, mais aussi pour Ryan qui finit par choisir de rester sur Terre en compagnie de Graham.
C’est toujours assez satisfaisant de voir un compagnon réussir à quitter de lui-même le TARDIS sans mourir ou autres expériences désagréables du même type mais ça se fait étrangement sans beaucoup d’émotions alors que si je pensais bien que l’un d’entre eux allait effectivement partir, je ne m’étais pas tout fait spoiler.
Ce n’est donc pas un épisode qui restera forcément dans les annales mais c’est toujours agréable de prendre une petite dose de Doctor Who de temps en temps et, en attendant l’arrivée de la prochaine saison qui ne devrait pas tarder et le nouveau compagnon qui est annoncé, c’est toujours bon à prendre.
J’ai adoré cet épisode. Pas pour l’intrigue qui est assez banale mais pour Jack, ses réparties avec Thirteen ou quand il parle de Gwen Cooper (retour « annoncé » de Torchwood ?) et le départ de Ryan et Graham qui m’a, moi, émue. Comme tu dis, c’est bien quand un compagnon arrive à s’affranchir de lui-même du Docteur. Et j’ai apprécié le retour du perso de Jack Robertson (qui est pourtant un beau crétin opportuniste). Bref, comme c’est sûrement le seul épisode qu’on aura cette année (je veux dire entre septembre 2019 et septembre 2020), je l’ai savouré.
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En effet, il fallait bien le savourer celui là parce que les prochains épisodes sont loin d’être arrivés (mais j’ai quand même super hate !)
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Avis similaire, l’intrigue est oubliable (voire déjà oubliée xD) mais les passages avec les compagnons valent le détour.
« C’est toujours assez satisfaisant de voir un compagnon réussir à quitter de lui-même le TARDIS sans mourir ou autres expériences désagréables du même type »
Mais tellement, ça fait du bien de mettre en scène des départs « normaux » de temps en temps !
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Mais tellement ! C’est d’ailleurs ce que j’avais aimé avec Martha, le fait qu’elle ait réussi à partir d’elle-même sans gros drama, c’était quand même hyper cool 🙂
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