Le TARDIS amène le Docteur, Ryan, Graham et Yaz près d’une cabane au bord d’un fjord en Norvège. Hanne, une jeune fille aveugle, y est réfugiée pour éviter le monstre qui rôde à l’extérieur, mais le Docteur découvre que le danger se trouve à travers un miroir dans la maison.
Un petit fjord norvégien à notre époque, voilà un endroit qui ne devrait pas poser de problèmes pour une virée en TARDIS.
C’est pourtant là qu’on retrouve une maisonnette, une adolescente aveugle, des bruits étranges et un miroir qui ne reflète pas alors que personne ne semble être un vampire.
C’est un épisode à concept auquel on a droit cette semaine, avec une Antizone tampon infestée de mites mangeuses de chair humaine, un univers parallèle et le Solitract, une créature qui en est la conscience, prenant la forme de personnes disparues.
C’est donc l’occasion rêvée pour traiter du deuil, notamment celui de Graham, qui avait été plus ou moins mis de côté jusque là par les scénaristes.
C’est sobre, émouvant, et pour quelque chose qui aurait pu plomber toute la saison, c’est joliment fait.
C’est une bonne chose mais je ne peux m’empêcher de penser que pas mal d’idées ont été lancées puis laissées en cours de route, le Passeur notamment faisant plus effet de remplissage qu’autre chose, pas aidé par le fait que la réalisation ne m’a pas emballée.
Mais on a droit à un Docteur un brin retrouvée, qui lance un des discours dont elle a le secret.
Et on ne pourra pas reprocher à cet épisode de ne pas avoir voulu tenter quelque chose de différent.
C’était effectivement un joli épisode. Et j’aime beaucoup Graham. En fait, j’aime les 3 compagnons 🙂
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Oui, je les aime beaucoup tous les trois, c’est Graham qui tire un peu plus son épingle du jeu jusque là mais j’aime aussi les deux autres 🙂
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