Bilan séries – Septembre 2018

Coucou à tous !

Comme à chaque début de mois, il est temps de faire le point sur mon avancée dans le challenge séries et sur les séries qui se sont terminées ces dernières semaines.
Pas d’immense avancée pour le challenge, mais je continue tranquillement mon petit de chemin, c’est parti pour le bilan !

DU CÔTÉ DU CHALLENGE

• Voltron : Legendary Defender

Saison 4 – 6 épisodes

J’avance tranquillement avec cette très sympathique série animée qui a bien su relever la barre après une deuxième saison qui m’avait un peu déçue.

ET EN DEHORS DU CHALLENGE

• Maniac – Mini série

Deux inconnus en difficulté se rencontrent pendant un essai clinique hallucinant mené par un médecin qui a des problèmes avec sa mère et un ordinateur émotif.

Malgré la présence de Emma Stone et la réalisation de Cary Fukunaga, Maniac n’était pas vraiment prévue dans mon programme tellement j’étais persuadée de la trouver bof.
Mais un de mes collègues de boulot m’a convaincue de la regarder et j’en arrive à la conclusion que je me connais décidément très bien puisque si j’ai réussi à la finir sans trop de peine, j’ai vraiment trouvé l’ensemble poussif.
L’idée principale est pourtant bonne, les acteurs sont excellents, la mise en scène est solide et l’esthétisme est orignal mais tient bien la route.
Pourtant, j’ai eu de longs passages de désespoir, notamment dans les nombreux délires vécus par les deux patients, à un point où j’en avais plus que marre et que je trouvais que la série donnait surtout l’impression de se regarder.
J’ai au moins le plaisir de savoir que l’histoire est bouclée, même si le final peut laisser planer quelques doutes.

• The Dragon Prince – Saison 1

Petite série animée sans grande prétention, The Dragon Prince ne brille ni par ses personnages principaux, finalement assez classiques, ni par son scénario, qui ne sort pas des sentiers battus de la fantasy.
Il semblerait qu’il y ait beaucoup d’inspiration à aller chercher du côté d’Avatar mais je ne connais pas cette série là donc je manque de points de comparaison.
Pourtant, j’ai suivi cette saison avec beaucoup de plaisir, bien aidée par la durée des épisodes et leur faible nombre.
Si cette série ne révolutionnera pas le genre, elle offre quand même quelques personnages qui sortent un peu des clichés, comme la tante sourde, et beaucoup d’enthousiasme pour mener son histoire d’œuf de dragon jusqu’au bout de sa route, au moins temporairement.

• Death in Paradise – Saison 7

La seule chose qui évolue dans cette série c’est son casting puisque cette saison on accueille à temps complet un nouvel inspecteur, Jack Mooney. Il aurait pu s’installer sur l’île avec sa fille, ce qui aurait pu offrir un peu de mouvement, mais celle-ci s’en va très rapidement et on retombe donc dans la routine habituelle des enquêtes.

Si celles-ci sont toujours plus ou moins sur le même schéma, elles tentent un petit peu d’en sortir en offrant des variantes à base de complices ou de fuites, mais dans l’ensemble, c’est un peu toujours la même chose.

Au niveau de l’équipe policière, Dwayne est le seul à avoir un peu d’évolution, vu que son père revient sur l’île et qu’il rencontre enfin une fille avec qui se caser.
Les autres font toujours du surplace et leur vie privée est au point mort depuis maintenant bien longtemps.
Heureusement, tout se fait toujours dans la bonne ambiance et les beaux paysages ainsi que le plaisir de reconnaitre l’intégralité des acteurs britanniques dans les personnages secondaires me poussent toujours à revenir chaque année.

• Killjoys – Saison 4

Depuis l’introduction du Green dans l’intrigue, les petites histoires de chasseurs de primes ont été complètement oubliées au profit d’une mythologie bien plus importante.
De toutes manières, avec Dutch et Aneela prisonnières de la Lady et le RAC explosé, les Killjoys ont d’autres soucis à régler en priorité.

Cette saison s’y attelle donc mais développe aussi un peu plus les personnages qui gravitent autour du trio principal. Delle Seyah est à mourir de rire, Turin gagne en choupitude, Fancy se détache un peu de son rôle de bourrin, Pree et Gared sont très mignons et Zeph et Pip sont adorables.

On perd sans doute un peu ce qui faisait une des forces de la série à ses débuts, son univers très cohérent, puisque les différentes planètes du Quad n’interviennent presque plus et que la politique, qui a longtemps été un gros élément, devient très secondaire.
On est dans quelque chose qui vire plus à la science-fiction, mais on n’en oublie pas pour autant les personnages, qui restent eux au centre du récit et humanisent une histoire qui serait sans cela un peu trop lointaine et abstraite tant la menace de la Lady ou les plans des Hullens sont restés longtemps dans le flou.

Killjoys est une série d’été que je prends toujours autant de plaisir à regarder et je suis déjà triste de savoir que l’an prochain marquera son final.

Voilà donc pour ce mois-ci au cours duquel j’ai également regardé la saison 2 de Jessica Jones et la saison 2 de Stranger Things, sur lesquelles je reviendrai un peu plus tard.