X-Men: Days of Future Past

Les X-Men envoient Wolverine dans le passé pour changer un événement historique majeur, qui pourrait impacter mondialement humains et mutants.

Dans le futur, les mutants ont été presque exterminés au cours d’une guerre contre les Sentinelles, des robots conçus pour les trouver et les éliminer.

Avec l’aide de Kitty Pride, Charles Xavier et Magnéto renvoient l’esprit de Wolverine dans son propre corps, en 1973.

Le but de Wolverine est de convaincre Xavier et Magnéto que la guerre va éclater à la suite d’un enchaînement d’événements provoqués par Mystique : elle cherche à abattre le docteur Bolivar Trask qui est en train de mettre au point les Sentinelles. Une fois qu’elle aura tué Trask, elle sera immédiatement arrêtée, et l’utilisation de ses cellules de mutante permettra de faire des Sentinelles des armes absolues dans le futur.

Voilà encore un film qui manquaient à ma culture cinématographique et je n’avais absolument aucune excuse pour ne pas l’avoir vu étant donné que j’aime beaucoup les X-Men.

Jusqu’à présent, la scène d’ouverture d’X-2 restait pour moi la référence de la saga.
Et bien celle introduisant ce volet a réussi à se hisser à son niveau !

Des mutants dans tous les sens, des pouvoirs qui fusent de tous les côtés, une mise en scène épique, il m’a fallu un moment pour m’en remettre.

Le truc choupi avec ce film c’est qu’un lien est fait entre les anciens mutants et les nouveaux.
La virée dans les années 70 aux côtés de James McAvoy, Michael Fassbender, Jennifer Lawrence et Nicholas Hoult est plus qu’agréable, avec une mention particulière à l’apparition de Quicksilver (qui, cette fois, a le droit d’être un mutant 😛 ) et toute la scène d’évasion du Pentagone qui est très inventive.

Mais j’ai aussi aimé que le futur ne soit pas oublié.
Il aurait pu ne servir qu’à lancer l’intrigue puis passé à la trappe mais j’aurai alors trouvé que c’était du gâchis envers tous les nouveaux personnages et, heureusement, ça n’a pas été le cas.

Les portails de Kinx sont justes déments *petites étoiles dans les yeux*.
Et quel plaisir de retrouver les plus anciens : Tornade, Colossus, et puis surtout Iceberg, toujours interprété par Shawn Ashmore (le frère jumeau d’Aaron, celui de Killjoys, vous pouvez pas vous tromper, la ressemblance est énorme).

Si j’étais tout à fait honnête, il faut bien avouer qu’à partir du moment où on commence à réfléchir au scénario et aux liens entre les films il n’y a plus grand chose qui colle mais j’ai eu un vrai plaisir à regarder ce film efficace et très enlevé qui relève quand même pas mal le niveau des productions estampillées super héros.

Je suis maintenant fin prête pour l’arrivée d’Apocalypse !

• X-Men
• X-2
• L’affrontement final
• First Class