Un épisode de Sherlock \o/ !
Cette denrée est tellement rare et précieuse que je me suis jetée sur cette pépite dès que je l’ai pu.
Attention pour ceux qui n’ont rien vu, ça spoile dans tous les sens !
Ce repositionnement chronologique m’a enchantée et j’ai trouvé tout à fait adorable de revoir cette rencontre entre John et Sherlock.
Tout comme j’ai pouffé de rire aux réplique de Madame Hudson qui râle du petit rôle qu’elle tient dans les aventures racontées par Watson.
Ou encore en voyant débarquer Lestrade et ses rouflaquettes venu avec sa petite affaire de mariée morte et ressuscitée.
Sherlock est toujours aussi sarcastique, John toujours aussi ronchon, Madame Hudson boude, Lestrade est paumé et Mary continue à garder ses secrets. Même Anderson est là !
En revanche, Molly est plutôt bien dissimulée 😉 .
It is never twins !
Ce mystère reste au point mort et les garçons l’oublient peu à peu jusqu’au jour où ils sont invités au club Diogène où, après une introduction en langage des signes fort joyeuse, on retrouve Mycroft, mon bien aimé Mycroft.
Qui a enfin un tour de taille réglementaire 😀 .
Et qui leur confie une nouvelle mission, les met sur la trace d’un groupe dangereux et leur envoie, Lady Carmichael, ses cinq pépins d’orange et sa mariée de retour en pleine forme.
C’est parti pour une enquête à base de fantômes, d’États-Unis, de mariée et de course poursuite.
Une enquête dont je ne vous dévoilerai pas tous les rebondissements mais qui nous offre en vrac :
– Une discussion assez saugrenue entre John et Sherlock sur ses aventures passées.
Nothing made me ! I made me. Redbeard ?
– Une utilisation plus que poussée du palais mental
– Un Moriarty diabolique et un Andrew Scott à qui Bigre veut offrir un BAFTA.
– Un John qui prend une importance capitale
– Mycroft. ❤
Un travail de dingue a été fait sur cet épisode et j’en ressors toute époustouflée.
On a enfin une explication à cette réapparition de Moriarty et, en même temps, une ouverture vers la prochaine saison (pas avant 2017, j’en pleure …).
C’est bien plus fin que ça ne le parait au premier abord, je pense même qu’un deuxième visionnage est indispensable.
Je pense notamment à ce rôle de Mycroft. Je pense et j’espère qu’on y reviendra parce qu’au delà du fait que j’aime Mark Gatiss, c’est un personnage bien plus fin que ce qu’il paraissait au premier abord et sa relation avec son frère est bien plus complexe que ce qu’il veut nous montrer.
Et ça nous rappelle que Sherlock est intemporel.
Chapeau.
j’ai vraiment adore cet episode…a part Moriarty….mais ca tu le sais…;)….mais vraiment chouette dans les dialogues…dans les AR passe/present….genial….;)
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Y a pleiiiin de dialogues à réétudier, des doubles sens de partout, GENIAL ❤
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oh que ouiiii vraiment reussi….le scenario est vraiment reussi….;)
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Époustouflée ! Tu as trouvé le mot ! Tu as résumé à merveille cet épisode. Outre le fabuleux travail de notre set designer favori Arwel Wyn Jones, On ne peut qu’être ébloui et saluer celui fait par Douglas Mackinnon (réal) et Suzie Lavelle ( D.O.P). Je trouve d’ailleurs que niveau lumière c’est un des épisodes qui met le plus en valeur le travail du D.O.P. Je ne parle pas du scénario. Je refuse de faire ce plaisir à nos deux génies sadiques. Mais, pardonnez-moi, putains qu’ils sont bons !
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La lumière! Ah, tu l’as dit!
Si on laisse de côté tout le reste (est-ce possible…?), la gestion du contre-jour, des lumières tamisées et autres…Heureusement que j’étais assise.
Sinon, un GROS bravo à Andrew Scott.
Et le scénario, bien sûr, très bien ficelé (même si je me doutais fortement de la direction prise par les 2 lascars).
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Mais TOUT A FAIT !
J’étais tellement émotionnée que j’ai très peu parlé du côté technique mais y a un boulot magnifique, surtout sur la lumière et dans le jeu des mains
(notemment avec Mycroft mais je suis peu objective tant je l’adore ❤ ) .
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Du coup, m’autorises-tu à reblogger ton article, qui est impeccable ?
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C’est trop gentil 🙂
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Chose faite avec plaisir, j’ai adoré ton article. Je l’ai relu 3 fois. 🙂
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Bon ben je pensais faire un article dessus mais en fait je ferais un bis repetita tellement le tien résume à merveille ma pensée… XD
Et D’OFFICE le BAFTA pour Andrew, non mais, il était juste GENIALISSIME dans cet épisode! :O
PS: Molly en homme ou presque, idée de génie…j’ai senti la plume de Mark plus que celle du Moffster. Bonne chose. 😛
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Si si si si si si !!
Je veux un de tes billets ❤ ❤
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D’accord alors je me dévoue… 😛
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Oui parce que moi aussi je veux lire ça ! :p
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YHEEEEEE \o/
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J’ai adoré cet épisode aussi, les références à l’oeuvre originale, la manière dont c’est entremêlé à la série BBC, les explications sur Moriarty, l’intrigue super prenante…
Moi aussi, je crise à l’idée de devoir attendre 2017 pour voir la suite de Sherlock !
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Et encore, c’est optimiste 2017 😦 😦
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A reblogué ceci sur JUNE and CIEet a ajouté:
Je vous avais promis un article sur le Special de Sherlock mais mon estimée collègue et copinaute Yodabor semble avoir lu dans mes pensées (et celles de Bigre girl) tant son article reflète mon ressenti.
Et puis reblogger certains articles est aussi ma façon de vous faire découvrir les blogs sympathiques sur lesquels je me balade.
J’en profite pour saluer au passage les aspects techniques de ce spécial. Ainsi que je le disais en commentaire dudit article :
« Outre le fabuleux travail de notre set designer favori Arwel Wyn Jones, on ne peut qu’être ébloui par celui fait par Douglas Mackinnon (réal) et Suzie Lavelle ( D.O.P). Je trouve d’ailleurs que niveau lumière c’est un des épisodes qui met le plus en valeur le travail du D.O.P.
Je ne parle pas du scénario. Je refuse de faire ce plaisir à nos deux génies sadiques. Mais, pardonnez-moi cette familiarité, putain qu’ils sont bons !
Aussi aies-je décidé de le partager avec vous, plutôt que de redire ce qui a déjà été dit.
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J’ai adoré cet épisode aussi et je partage tout à fait ce que tu en dis. Revoir Sherlock et John (Cumberbatch et Freeman sont vraiment excellents) et leurs échanges est un pur bonheur, Mme Hudson m’a fait mourir de rire, Mycroft est génial et j’ai beaucoup aimé grâce à ce retour dans le passé revenir sur les débuts de Sherlock. Ça m’a donné envie de revoir la saison 1 🙂 En tout cas, vivement 2017 !
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Courage on y est presque ^^
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