Une petite fille débarque dans le TARDIS, à la recherche du Docteur, alors que la Terre entière est d’un coup recouverte d’arbres ayant poussé en une seule nuit.
Les derniers jours de l’humanité sont arrivés.
Il m’est compliqué d’expliquer précisément ce qui m’a plu dans cet épisode mais je me suis régalée du début à la fin.
Les gamins de l’école sont plutôt mignons comparés à ceux qu’on a pu voir par ailleurs. Ils sont vraiment faciles à vivre et à balader d’un côté à l’autre de la ville. Ce n’est sans doute pas très crédible mais tant pis, les mioches tête à claques, j’en ai ma dose et ceux là je l’ai ai bien aimés.
Le principal défaut de cet épisode c’est qu’il est assez prévisible. Dès que l’éruption solaire est annoncée, ça m’a semblé évident que les arbres n’étaient là que pour protéger la Terre. Je ne comprends pas que le Docteur mette autant de temps à faire le lien.
Mais si le scénario n’était pas fabuleux, c’est toute l’atmosphère qui m’a séduite. La musique, l’esthétique, les personnages, j’ai tout adoré en vrac.
Danny est loin d’être un imbécile, c’est vraiment quelqu’un que j’apprécie beaucoup. Toutes ses répliques sont très réfléchies et il sait se débrouiller en toutes circonstances.
« This is my world, too. I walk your Earth. I breathe your air. »
Joli revirement pour un Docteur qui avoue finalement quelque chose qu’on savait depuis fort longtemps. Notre planète est aussi la sienne. Pour quelqu’un qui a tout perdu, la Terre et ses habitants sont ce qui est le plus proche pour lui de sa maison.
Seule la scène finale avec la sœur m’a semblé de trop, elle n’avait pas sa place ici. Terminer sur Clara et le Docteur sur le balcon était largement suffisant.
Un épisode de Doctor Who comme je les aime, il est dans mes préférés de cette saison. C’était vraiment magique et féerique, et j’aime quand la série part dans cette direction là.