Les dernières heures que viennent de vivre Jules Verne, Arthur Conan Doyle et Amélia Earhart ne sont que les prémices d’un avenir qui va s’avérer riche en rebondissements. Alors que l’enquête conjointe de nos amis et des forces de l’ordre de City Hall avance doucement, le grand Harry Houdini décide de se joindre à eux. Mais si l’illusionniste pense leur donner l’avantage, il ignore que Black Fowl a, lui aussi, fait la rencontre d’un nouvel allié. Un écrivain redoutable, capable de créer des papercuts comme personne d’autre n’en a le pouvoir… pas même Jules Verne !
Avec sa fabrique de papier, Lord Black Fowl est sur le point de devenir un dieu. Et il retient en plus prisonnier Pierre Verne, le père de Jules.
Pour le contrer, Jules, Arthur et Amelia rencontrent Harry Houdini pour le persuader d’intégrer leur groupe. Celui-ci refuse mais les met sur la piste de l’enlèvement de Pierre.
Mais en face, Mary Shelley rejoint le camp de Black Fowl avec son propre Papercut, alors que l’ennemi n°1 menace de révéler la vérité sur le papier au monde entier le jour de l’inauguration de l’Exposition Universelle.
Dans la même veine que le premier tome, celui-ci nous entraîne dans le Londres du début du siècle, au cœur de la magie et de la prestidigitation.
L’étau se resserre autour de la famille Verne et chaque camp essaie de trouver des alliés, une parfaite transition avant d’entamer l’affrontement final.
Si l’action manque un peu, on en profite pour approfondir les personnages et ça fait beaucoup de bien.
Ce tome là est bourré de petites références amusantes, on y trouve notamment une réinterprétation de l’Anneau Unique du Seigneur des Anneaux par Houdini assez amusante.
Comme pour le premier tome, j’ai eu droit à une très jolie couverture avec nos trois protagonistes principaux, absolument charmante.
City Hall – Tome 2
Rémi Guérin – Guillaume Lapeyre
Ankama
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